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Just Sébastien Arthur DUMAS
Person · 1825-1905

Just Sébastien Arthur DUMAS est un homme politique français, né le 28 août 1825 à Vollore-Ville (Puy-de-Dôme) et mort le 8 octobre 1905 à Vollore-Ville.

Fils de Jean Baptiste Antoine DUMAS (1784-1862), avocat et juge suppléant au tribunal civil de Thiers (Puy-de-Dôme), et de Michelle Adèle Félicité GOYON (1802-1878), Just Sébastien Arthur DUMAS nait le 28 août 1825 au domicile de ses père et mère situé au château de Vollore. Par sa mère, fille de François GOYON et de Marie JOUVET, il est le neveu d'Hippolyte GOYON, maire de Courpière (1861-1870) et conseiller général du Puy-de-Dôme (canton de Courpière 1844-1864). Il épouse, en premières noces le 3 septembre 1866 à Ambert (Puy-de-Dôme) Marie Françoise Pierrette Michelle BRAVARD DE LA BOISSERIE (1844-1871), fille de Jacques Esprit Marie Alfred BRAVARD DE LA BOISSERIE, avocat, et de Marie Antoinette Valérie VIMAL, et petite-fille de l'ancien député, Jean-François VIMAL-DUPUY. Il épouse en secondes noces le 12 janvier 1875 au Puy-en-Velay (Haute-Loire) Marie Geneviève Ciprienne Marguerite BEAUD DE BRIVE (1848-1928), fille de Noël Marie Ernest BEAUD DE BRIVE, avocat, et de Marie Claudine BRAVARD DE LA BOISSERIE. De ce mariage naissent : Marie Louise DUMAS (1876-1953) qui épousera à Vollore-Ville le 16 juillet 1900, Marie Antoine Charles Gilbert BUREAUX DE PUSY DUMOTTIER DE LAFAYETTE (1871-1950) et Geneviève Camille DUMAS, décédée adolescente (1877-1889). Arthur DUMAS meurt le 8 octobre 1905 dans son château de Vollore.

Carrière politique
Au Conseil général du Puy-de-Dôme :
Il est élu, le 19 juin 1864, dans le canton de Courpière, par 1 950 voix sur 3 701 votants pour 4 686 inscrits, contre 1 374 suffrages au profit de son oncle, Hippolyte GOYON, conseiller sortant. Il est réélu, aux élections du 8 octobre 1871, par 1 935 voix sur 3 504 votants pour 4 666 inscrits, contre 1 516 suffrages à TROUSSEL. Il est reconduit dans son mandat, aux élections du 4 novembre 1877, réélu par 2 321 voix pour 2 527 votants pour 4 627 inscrits. Il est à nouveau réélu, le 12 août 1883, par 1 852 voix sur 3 666 votants pour 4 603 inscrits, contre 1 697 suffrages à Noël François Victor CHAMERLAT, maire de Courpière et futur député. Il sera battu par ce dernier aux élections du 28 juillet 1889, n'ayant recueilli que 1 645 voix, contre 2 064 pour CHAMERLAT, sur 3 852 suffrages exprimés pour 4 763 inscrits.
À la mairie de Vollore-Ville :
Il est élu en 1870 maire de Vollore-Ville, faisant suite à Jacques HALLEY (1791-1872). Il conservera ce mandat jusqu'en 1904.
Engagement et distinction :
Il est proposé, en 1893, à la correspondance de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) par le docteur PLICQUE. En 1899, il adhère à la ligue de la patrie française, organisation politique française, d'orientation nationaliste, fondée le 31 décembre 1898, dans le cadre de l'affaire Dreyfus, et rassemblant les forces antidreyfusardes composée notamment de professeurs et d'artistes mais également de boulangistes et de bonapartistes;

Jeanne Marie DARESTE
Person · 1740-1815

Grand-mère paternelle d'Athénaïs DE CUZIEU, madame DE SAINT-THOMAS.

Née le 22 novembre 1740 à Lyon (Rhône). Baptisée le 23 novembre 1740 à Lyon (Nom parrain : CHOLIER Louis Hector - Nom marraine : FUSELIER Jeanne Marie) ; Commentaire général de l'acte n° 342 : née hier - père et parrain conseillers du roy - marraine femme de Damien FLACHAT écuyer (tante de l'enfant). Décédée le 3 février 1815 à son domicile Place Bellecour à Lyon.

Mariée le 27 septembre 1760 en l'église d'Ainay à Lyon avec Jean Blaise DENIS DES BOYRONS DE CUZIEU, écuyer seigneur de Cuzieu et d'Unias (1732-1793) ; d'où 7 enfants dont 3 atteindront l'âge adulte :

  • Charles Aimé Ovide DENIS DE CUZIEU,
  • Jeanne Lucrèce Artémise, madame DUPUY DE CHATELARD,
  • Antoinette Blaisine Aglaé, madame ARTHAUD DE VIRY.

Le lien de famille entre les CUZIEU, les TRICAUD, les FONTENAY et les PERRAULT tient de la Famille DARESTE et plus précisément dans cette famille nombreuse à Lyon de la branche des seigneurs DE ROSARGE et DE BOUVESSE. A la fin du XVIIIe siècle, les 4 sœurs DARESTE de ROSARGE :

  • Jeanne Marie (1740-1815),
  • Lucrèce (1746-1822),
  • Antoinette (1747-1837),
  • et Marie Geneviève (1748-1828),
    ont respectivement épousé :
  • Jean Blaise DENIS DES BOYRONS DE CUZIEU (1732-1793),
  • Pierre DUJAST D'AMBÉRIEU (1739-1821),
  • Anne Paul CHEVAL DE FONTENAY DE SOMMANT (1732-1790),
  • et Claude Jean Baptiste GARRON DE LA BÉVIÈRE DE BROSSE (1742-1811).
Person · 1900-1953

Petit-fils d'Athénaïs ANDRIEU DE VAULX. Né le 14 janvier 1900 à Roanne et mort le 26 janvier 1953 à Roanne.

Il passe sa petite enfance en Forez au Château de Roanne, à Roanne (aujourd’hui l’Office de tourisme), en Auvergne, au Château de Vaulx entre Thiers et Vollore-Ville (Puy-de-Dôme) et à Cannes (Alpes-Maritimes) à la Villa du Pin de la Danse au Cap Croisette (villa autrefois située 48 boulevard Eugène Gazagnaire, face au port du Mouré Rouge, démolie en juin-juillet 1977 pour faire place à un immeuble en copropriété dénommé Résidence Fantasia).

Ses études sont commencées par une institutrice, Mademoiselle Marguerite Liogier. En 1909 (ou 1910 ?), à la Rentrée d’octobre, il est pensionnaire à la Villa Saint Jean chez les Marianistes à Fribourg en Suisse. Il y retrouve son frère aîné Robert DUMAS DE VAULX et ses cousins-germains (Frédéric et Camille MULSANT, Gabriel HENRY). La Première Guerre Mondiale l’empêche de retourner en Suisse. De ce fait, il est inscrit au Lycée de Garçons de Roanne, où il achève ses études secondaires.
La fin de la guerre retarde son incorporation jusqu’au mois de mars 1920 où il rejoint le 98e Régiment d’Infanterie, Caserne Werlé à Roanne. Nommé caporal puis sous-officier, il est dirigé en décembre 1920 sur Paris à la section des secrétaires d’Etat-Major. Il est affecté comme maréchal-des-logis secrétaire à l’Etat-Major du Maréchal FOCH. Ce service était la Présidence et la Section française du Comité Militaire Allié de Versailles. Il travaille sous les ordres direct du général WEYGAND et du général GEORGES. Démobilisé en mars 1922, il quitte l’Etat-Major et rentre dans sa famille à Roanne. Il prend en charge la gestion de la propriété agricole de Vaulx à Sainte-Agathe (Puy-de-Dôme) et passionné de sports mécaniques, participe à de nombreuses épreuves sportives, en moto Terrot, puis en voiture de course automobile, principalement sur Amilcar CGS3 version Torpédo ponté avec partie arrière en pointe «bateau», options ailes «moto» et calandre type Eldridge. Egalement passionné de littérature et d’écriture, il collabore épisodiquement avec la presse régionale et rédige notamment un article de souvenirs au décès du Maréchal FOCH en 1929.

Il épouse, le 14 janvier 1927, au Coteau, Simone GROSSE (1904-1996), fille de l'industriel Emile GROSSE ("Société de Tissages Mécaniques de Cotonnades Emile Grosse & Fils" dont le siège social était à Roanne), sœur de Robert GROSSE, industriel et successeur de son père, coureur automobile sur Ballot 2 litres et Bugatti type 43 Torpédo Grand Sport, président de l'Automobile Club de Roanne et du N.A.C. de Roanne, aviateur breveté numéro 4214, pilote sur Caudron C.600 Aiglon et Farman F-403.

Conseiller municipal de la commune où se situe le château de Vaulx, il est élu le 16 février 1930 maire de Sainte-Agathe (Puy-de-Dôme). En sa qualité de maire de cette commune, il préside, le 27 mai 1933, en la salle du conseil municipal de l'hôtel-de-ville de Clermont-Ferrand, l'assemblée constitutive de l'Association des communes forestières du Puy-de-Dôme. Véritable promoteur du mouvement, il lance un appel aux maires du département qui répondent favorablement à ce dernier et assistent à la réunion qui se tient le 21 janvier 1934, à Ambert. Au cours de cette dernière, il est nommé président de l'association et désigné comme délégué au comité central de la fédération.

Une tumeur au cerveau diagnostiquée à l'automne 1952, les médecins de l'hôpital Edouard-Herriot de Lyon ne peuvent enrayer la maladie. Tombé dans le coma, il est rapatrié auprès des siens et il décède le 26 janvier 1953 le jour de son retour au château à Roanne. Gérard DUMAS DE VAULX est inhumé au cimetière Saint-Jean de Thiers dans le caveau familial des ANDRIEU.

Person · 1773-1872

Benoite Joséphine Constantin DE SURJOUX (1773-1872), mariée avec François-Pierre, comte DE MACHECO DE PREMEAUX (1767-1827). Famille originaire de Bretagne, des sires de Retz et de la branche des Machecoul, nom qui s'altéra et se prononça en Bourgogne MACHECO, établie en Bourgogne depuis 1445, entrée aux états de Bourgogne en 1775. D’où une fille unique : Catherine Hugues Amélie DE MACHECO (1810-1843) mariée avec François Ernest Constantin, Comte DE CHANAY.

Le comte DE CHANAY également évoqué dans la correspondance familiale est donc le gendre de Madame DE MACHECO : il a un jeune fils né en 1830, Louis Joseph Constantin de Chanay, également cité dans la lettre.

Michel GOUTAY
Person · 1804-1858

Michel GOUTAY est un peintre auvergnat né à Thiers (Puy-de-Dôme) le 26 fructidor an XII, soit le 13 septembre 1804 (famille originaire certainement de Cervières, vu le nom typique de ce lieu). Il est fils de Jean-Baptiste GOUTAY, instituteur et de Marie MONTADORT. Il décède le 6 mai 1858 à Thiers, et l'on sait par l'état civil qu'il s'était marié le 21 août 1843 avec une veuve nommée Marguerite RIQUET qui lui survivra presque 20 ans (décès à Thiers le 16 janvier 1878). L'état civil de mariage le désigne précisément comme artiste peintre et celui de décès comme professeur de dessin. Selon la coutume thiernoise d'une meilleure identification des individus, à compter de son mariage, son patronyme fera souvent l'objet de l'adjonction du nom de son épouse : GOUTAY-RIQUET.

Élève de Louis Etienne WATELET (1780-1766), peintre paysagiste, qui est surtout notable par son rôle d'éducateur artistique (c'est dans son atelier que nombre de futurs paysagistes estimables, parmi lesquels Prosper BACCUET, Théodore CARUELLE D'ALIGNY, Paul DELAROCHE, Abel DUFRESNE et Pierre THUILLIER, ont fait leur apprentissage). Professeur au collège de Thiers, artiste local reconnu peignant de nombreuses œuvres en rapport avec sa ville, Michel GOUTAY initie Georges Antoine Prosper MARILHAT (1811-1847) au dessin et à la peinture. Il sera son premier maître. MARILHAT deviendra plus tard un peintre orientaliste et naturaliste français de premier plan.

Michel GOUTAY a l’âge d'Hermose ANDRIEU. Donc plus âgé de 7 ans que son ami Jean Baptiste dit Francis ANDRIEU : Michel et Francis partagent en effet le goût des arts. Le premier, sans aucune fortune, avait bien compris tout l’intérêt d’être ami avec le second, dont la richesse du père était bien connu à Thiers. Francis à Paris lors de ses études sans fin, fera survivre Michel GOUTAY et très certainement Prosper MARILHAT son protégé. Je pense qu’entre Michel et Francis, l’amitié était solide et sincère ; cependant lorsque Michel se mariera à Thiers en 1843, Francis ne fera pas partie des 2 amis choisis pour témoins.

Michel GOUTAY-RIQUET a une entrée dans le Bénézit, dictionnaire biographique d'artistes :
Français, 19e siècle, homme.
Né à Thiers (Puy-de-Dôme).
Peintre.
Élève de WATELET (1780-1766).
Exposé au Salon de Paris de 1827 à 1839, paysages et vues de Thiers.
Fonds de musées et de galeries :

  • Dunkerque : Paysage
  • Moulins : Angélique et Médore

Michel GOUTAY-RIQUET possède aussi une notice parue en 1882 dans le Dictionnaire général des artistes de l'École française depuis l'origine des arts du dessin jusqu'à nos jours : architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et lithographes, d'Émile BELLIER DE LA CHAVIGNERIE (ouvrage terminé par Louis AUVRAY). Cette source recense davantage d'œuvres de lui :
– S. 1827. Vue d'après nature, prise à Thiers.
– S. 1831. Vue de la roche Margeride, à Thiers, effet de matin ; – Un souvenir, soleil couchant ; – Vue d'un lac, en Auvergne ; – Paysage composé, sujet tiré du Monastère, de Walter Scott.
– S. 1833. Vue d'Auvergne.
– S. 1834. Un grand paysage composé, d'après des croquis de la campagne de Thiers ; – Vue peinte sur les lieux d'une portion, de l'ancien château de Thiers ; – Vue exacte d'un martinet dans la vallée d'Enfer, à Thiers.
– S. 1835. Paysage, vue générale de Thiers, effet de soleil couchant, étude d'après nature.
– S. 1836. Vue d'un coteau boisé aux derniers rayons de soleil couchant (Auvergne) ; – Vue de la ville de Thiers, prise de l'ancien lit de la Dore, effet de soir.
– S. 1837. Paysage, étude prise dans le hameau appelé les Thermes, en Auvergne.
– S. 1838. Vue générale de la ville de Thiers et de sa vallée, effet de matin ; – Une canne, d'après nature.
– S. 1839. Paysage.
– S. 1848. Vue prise des hauteurs de Pierre ; – Plate, ancienne route de Lyon à Thiers.

Person · 1784-1855

Le cousin DE FONTENAY est Gabriel CHEVAL DE FONTENAY (Né le 16 août 1784 au château de Valogne à Sommant, Saône-et-Loire ; décédé le 27 septembre 1855 à Versailles, Yvelines, à l'âge de 71 ans), titré Vicomte COUSIN (12 juillet 1830) est un Diplomate français de la Monarchie de Juillet : Consul général, Envoyé extraordinaire, Ministre plénipotentiaire de France près du Roi de Würtemberg à Stuttgart (Allemagne), Grand-Officier de la Légion d'honneur (30 avril 1847).

Ses parents sont Antoinette DARESTE (1747-1837) et Anne Paul de FONTENAY, écuyer, Seigneur de SOMMANT (1732-1790). Né le 15 mai 1732 à Autun (Saône et Loire). Décédé le 22 octobre 1790 à Autun à l'âge de 58 ans. Député de la Noblesse aux Etats Généraux de 1789. Premier Maire d'Autun. Anne Paul CHEVAL DE FONTENAY DE SOMMANT. Avant d’épouser en secondes noces Antoinette DARESTE, Anne Paul s’était marié en 1760 avec Anne-Claude DE MOLLERAT DE MEUILLEY (1737-1761) et avait eu une première fille Claudine-Pierrette-Anne DE FONTENAY (1761-1842) qui plus tard le 22 février 1781 épousera à Autun Edmé Barthélémy Charles DE FOUDRAS, d’où :

  • Louis Angèle DE FOUDRAS (1795-1873). Né le 8 octobre 1795 - Division Nord/Lyon. Baptisé - Paroisse Saint-Vincent La Platière/Lyon. Décédé le 1er septembre 1873 au Château d'Origny/Ouches (Loire), à l'âge de 77 ans. Inhumé à Ouches (Loire). Maire de Riorges (Loire). Témoin en 1849 du mariage à Roanne (Loire) de Clémentine de SAINT THOMAS avec Jean Baptiste ANDRIEU.
Marguerite Eliza ANDRIEU
Person · 1810-1892

Tante d'Athénaïs ANDRIEU DE VAULX. 4ème enfant de la fratrie ANDRIEU-COGNORD.

Née le 15 juin 1810 à Thiers (Puy-de-Dôme). Décédée le 23 février 1892 à Thiers à l'âge de 81 ans. Mariée le 10 novembre 1828 à Thiers avec Jean Baptiste dit Prosper DARROT, Notaire, Maire de Thiers (1839-1848), Conseiller général du Puy-de-Dôme (30 novembre 1845), Député du Puy-de-Dôme (1846-1848), né le 1er octobre 1797 à Thiers et décédé le 2 octobre 1870 à Thiers à l'âge de 73 ans (Parents : Joseph Gilbert DARROT 1757-1825 & Catherine Françoise VIDAL de RONAT 1761-1843). Dont postérité, notamment Marie DARROT qui épousera Adolphe CHASSAIGNE.

Louis Angèle DE FOUDRAS
Person · 1795- 1873

Petit-fils d'un premier mariage de Anne Paul DE FONTENAY, écuyer, Seigneur de SOMMANT (1732-1790), oncle de Charles Aimé Ovide DENIS DE CUZIEU.
Fils de Claudine Pierrette Anne CHEVAL DE FONTENAY (1761-1842), mariée à Autun (Saône-et-Loire) le 22 février 1781 avec Edmé Barthélémy Charles DE FOUDRAS.
Né le 8 octobre 1795 - Division Nord/Lyon. Baptisé - Paroisse Saint-Vincent La Platière/Lyon. Décédé le 1er septembre 1873 au Château d'Origny sur Ouches (Loire), à l'âge de 77 ans. Inhumé à Ouches (Loire).
Maire de Riorges (Loire).
Témoin en 1849 du mariage de Clémentine de SAINT THOMAS avec Jean Baptiste ANDRIEU.

Célina GRELICHE
Person · 1836

Née Marie Françoise Joséphine Célina GRELICHE le 3 septembre 1836 à Celles sur Durolle. Elle est la fille de Joseph Greliche (Docteur en médecine résidant au bourg) et d’Adèle Devèze.