Geneviève Bert (1881-1972) épouse en 1905 le Baron Portalis, descendant du jurisconsulte ayant rédigé le code civil auprès de Napoléon Bonaparte. Le cousinage provenait du côté Gouttenoire : la grand-mère de Geneviève était la cousine germaine de Victor Gouttenoire (1845-1897)
Père d'Athénaïs ANDRIEU DE VAULX. 5ème et dernier enfant de la fratrie ANDRIEU-COGNORD. Jean Baptiste dit Francisque quand il était enfant, dit Francis quand il fut adulte. Bachelier puis Licencié en Droit, Avocat.
Héritier des domaines de Vaulx et de Frissonnet en 1849 au décès de son père Pierre ANDRIEU. Selon la tradition thiernoise d'accoler à son nom, soit celui d'une épouse, soit celui d'une terre, Francis sera connu sous le nom d'ANDRIEU DE VAULX pour le distinguer à Thiers soit de l'aîné fratrie dit ANDRIEU-Aîné ou ANDRIEU-DUFOUR, soit d'Hermose appelé ANDRIEU (tout court).
Après ses études secondaires à Paris au lycée Henri IV, puis avoir raté ou oublié de s’inscrire au concours d’admission à l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr (nous ne savons pas très bien), Francis n’étudia guère son droit et préférait fréquenter les tavernes d’étudiants progressistes, les ateliers d'artistes et les salons de peintures. Ce qui entraînera la brouille de Francis avec son père Pierre ANDRIEU qui lui coupera les vivres (c’est grâce à son frère Hermose ANDRIEU et à sa sœur Azelie DARROT-ANDRIEU qu’il subsistera). Francis mettra 10 années à terminer ses études de droit et à devenir avocat en usant la patience de 3 facultés (Paris, Grenoble et enfin Poitiers). D’où le qualificatif de « Francis était un Marius » donné par Clémentine GOUTTENOIRE à l’endroit de son grand-père (cf Marius PONTMERCY, le jeune premier des Misérables, né en 1810, étudiant en droit, ami du groupuscule de l’ABC, brouillé avec son grand-père le riche bourgeois royaliste GILLENORMAND, futur avocat et mari de Cosette).
Epoux de Marguerite ANDRIEU, cousine-germaine d'Athénaïs ANDRIEU DE VAULX. Père de Barthélémy DUMAS DE VAULX
Jean Félix Camille DUMAS est un notable auvergnat, né le 9 août 1831 à Courpière et mort le 15 janvier 1909 au château de Fontenille à Lezoux (Puy de Dôme) à l'âge de 77 ans.
Second fils de Jean Baptiste Antoine DUMAS (1784-1862), avocat et juge suppléant au tribunal civil de Thiers, et de Michelle Adèle Félicité GOYON (1802-1878), Jean Félix Camille DUMAS nait le 9 août 1831 à Courpière (63). Par sa mère, fille de François GOYON et de Marie JOUVET, il est le neveu d'Hippolyte GOYON, maire de Courpière (1861-1870) et conseiller général du Puy-de-Dôme (canton de Courpière 1844-1864). Il épouse le 26 novembre 1860 Marguerite ANDRIEU, née le 12 janvier 1839 à Thiers (63) et décédée le 9 avril 1926, à l'âge de 87 ans (Parents : Georges Pierre dit Hermose ANDRIEU 1804-1875 & Anne DUFOUR dit DUFOUR-DUBESSET 1817-1884), d'où 4 enfants :
- Jean Baptiste Maxime DUMAS (1862-1922). Marié avec Marie Jeanne Laurence MARRY 1873 ;
- Louise DUMAS (1863-1928). Mariée le 5 mai 1884 à Thiers (63), avec son cousin François Barthélémy Joseph HENRY (1851-1914) ;
- Anne Jeanne Justine Lucie DUMAS (1865-1918). Mariée le 21 novembre 1893 à Lezoux (63), avec Antony MULSANT (1862-1935) ;
- Antoine Barthélémy DUMAS dit DUMAS DE VAULX (1870-1920). Marié le 30 mai 1896 à Roanne (42), avec cousine issue-de-germaine Jeanne Aimée Clémentine GOUTTENOIRE (1873-1958).
Camille DUMAS vécut longtemps au château de Vollore (Puy-de-Dôme) en famille avec son frère Arthur DUMAS. Arthur se maria tardivement et les belles-sœurs ne s'entendirent guère. Notons que Marguerite ANDRIEU, l'épouse de Camille, était de santé fragile, tenant du côté de sa mère la très grande instabilité nerveuse des DUFOUR-DUBESSET et a passé sa vie à faire des cures à Néris-les-Bains pour calmer sa trop forte nervosité. Camille DUMAS laissa alors le château de Vollore à son frère ainé Arthur, et acheta le château de Fontenille à Lezoux, en bas de Thiers. Des 4 enfants de Marguerite et Camille, c'est l'ainé Maxime DUMAS qui héritera du château de Fontenille ; sa veuve Laurence MARRY-DUMAS le vendit ensuite au milieu du XXe siècle.
Cousine-germaine d'Athénaïs ANDRIEU DE VAULX. Mère de Barthélémy DUMAS DE VAULX.
Née le 12 janvier 1839 à Thiers (Puy-de-Dôme). Décédée le 9 avril 1926 au château de Fontenille à Lezoux (Puy-de-Dôme) à l'âge de 87 ans. Marguerite ANDRIEU tient du côté de sa mère la grande instabilité nerveuse des DUFOUR-DUBESSET ayant nécessité des cures à Néris-les-Bains pour calmer ses nerfs. Les 30 dernières années de sa vie ont été éprouvantes.
Ivan qui fut un jockey particulièrement mondain de la Belle Époque s'est éteint à Nice en 1936.
Célibataire, ami du Musée Masséna, il légua à cette institution niçoise une collection de beaux meubles XVIIIe.
Texte biographique
Ami d'Athénaïs DENIS DE CUZIEU, Alexandre Étienne CHORON est un musicien et pédagogue français né à Caen (Calvados) le 21 octobre 1771 et mort à Paris le 29 juin 1834. Fondateur de l'Institution Royale de Musique Religieuse à Paris dont Athénaïs est directrice pour les Dames de 1824 à 1828. Il joue un rôle essentiel en France pour opérer une distinction claire entre musique sacrée et profane (l'esprit profane et la musique d'opéra se mêlaient alors au chant d'église). CHORON est aussi à l'origine de l'intérêt pour l'histoire de la musique, qui s'est perpétué jusqu'à nos jours : auparavant, on s'intéressait peu ou pas du tout aux œuvres des époques précédentes.
Education :
Fils d'Etienne Louis CHORON, directeur général des Fermes à Caen en Normandie, écuyer, Secrétaire du Roi. Né et éduqué dans un milieu et dans un environnement maçonnique : son père appartient à la Loge "Constante Fabert" à l’Orient de Caen (Apprenti en 1782, Maître en 1784 et Vénérable en 1785 - Archives Nationales, cote FM/2/189/I). CHORON fait des études de mathématiques au collège des Jésuites de Juilly, puis à l’Ecole des Mines. Doté d’une mémoire prodigieuse, il sait à l’âge de 15 ans, parler et écrire sans difficulté le latin, le grec et l’hébreu : c'est un mathématicien en même temps qu’un musicien ! Gaspard MONGE, le fondateur de l’Ecole polytechnique et le père de la géométrie descriptive, le prend pour élève et lui confie, en 1795, les fonctions de répétiteur de géométrie descriptive à l’Ecole Normale. MONGE est également un Frère maçon initié à Mézières en 1768 dans la Loge "L'Union Parfaite du Corps Royal du Génie". Quoique son père lui ait interdit d'étudier la musique, CHORON s'initie seul aux théories de Jean-Philippe RAMEAU. Ami de GRETRY, sur ses conseils, il prend des leçons d’harmonie auprès de l’abbé Nicolas ROZE, franc-maçon lui aussi, (1745-1819), ancien maître de chapelle des Saints-Innocents, et également auprès de BONESI. Ce dernier le familiarise avec le traité de fugue et de contrepoint de Nicolo SALA (1701-1800) et avec la musique italienne. Il en tire la matière de son ouvrage : Principes de composition des écoles d'Italie. Il apprend l'allemand afin d'étudier les traités de musique écrits dans cette langue, puis entreprend de réformer toutes les branches de l'activité musicale.
Carrière :
Membre correspondant de l'Académie des beaux-arts, Alexandre-Étienne CHORON est chargé en 1811, par le ministre des Cultes de Napoléon Ier, de réorganiser les maîtrises avec le titre de Directeur de la musique des fêtes religieuses. Nommé « régisseur » de l'Opéra de Paris le 18 janvier 1816 il provoque la réouverture du Conservatoire, fermé depuis 1815, sous le nom d'École royale de chant et de déclamation. Dès le 30 mars 1817, il est contraint de démissionner de la direction de l'Opéra, sans pension, par suite du trop grand nombre de changements qu'il avait voulu apporter.
Institution Royale de Musique Religieuse :
- Après la démission de ses fonctions de directeur de l’Opéra, Alexandre CHORON se consacre alors uniquement à la réalisation d’un grand projet : l’ouverture d’une Ecole royale et spéciale de chant. Créée déjà en 1816, elle prospère rapidement pour s’appeler finalement Institution Royale de Musique classique et Religieuse. Située 69 rue de Vaugirard, cette institution est destinée au rétablissement de la musique religieuse. L’instruction dispensée porte sur le solfège, la musique instrumentale en tant qu’elle rapporte à l’accompagnement du chant, notamment sur le forte-piano ou l’orgue, le violon et le violoncelle, l’harmonie pratique et la composition musicale et bien entendu sur les matières scolaires traditionnelles (français, latin, belles-lettres, géographie, histoire, grammaire) et sur l’éducation religieuse et morale.
- Les concerts des élèves de Choron vont exciter l’admiration de tous. On peut entendre là, et seulement là, des compositions de Bach, Palestrina, Haendel et d’autres grands maîtres d’Allemagne ou Italie. C’est la première fois en France que des œuvres si admirables sont exécutées par des masses chorales de cette importance ! La renommée de l’école de CHORON est incontestable : on le réclame en concerts partout en France (Autun, Nevers, Moulins, Tours, Tulle, Rennes, Montauban...) ; l’église Notre-Dame-de-Lorette à Paris fait appel à lui pour les grandes fêtes ; les élèves assurent régulièrement les offices chantés de l’église de la Sorbonne, où CHORON détient d’ailleurs le titre officiel de maître de chapelle ; un grand nombre de cathédrales le prient de lui envoyer des élèves pour en faire leur maître de chapelle. La formation des élèves de CHORON représentait en effet un grand progrès, notamment avec la substitution du serpent par l’orgue d’accompagnement.
- Athénaïs DENIS DE CUZIEU, madame DE SAINT-THOMAS, n'est pas une musicienne professionnelle, mais une pianiste amateure d'un bon niveau. Peut-être sur une recommandation ancienne de DUMONCHAU, son ancien professeur à Lyon (décédé depuis 1820) qui avait sans doute rencontré CHORON au cours de ses années passées à Paris, Athénaïs se rapproche de ce fameux musicologue lors de son installation dans la capitale en 1824. A moins que le lien relationnel n'ait été établi par le réseau maçonnique de son père le colonel baron DE CUZIEU, également Franc-maçon initié en 1785 à Strasbourg à la Grand Loge du Duc de Chartres. Son école étant mixte, Alexandre CHORON lui confie alors le poste de directrice (école des Dames) de son Institution Royale de Musique Religieuse. Celle-ci, dont le bâtiment principal se trouvait 69 rue de Vaugirard à Paris, avait conservé (à cette époque) son premier bâtiment du début de la rue du Regard (Pensionnat royal de chant). Grâce à la correspondance d'Athénaïs, nous connaissons les prénoms de 3 de ses élèves : Élie, Hortense et Joséphine (lettre d'Hector DENIS DE CUZIEU à sa sœur le 22 octobre 1825).
- A la fin de la Restauration, l’école de CHORON dépend directement de la Maison du roi, département des Beaux-Arts, qui lui accorde d’importantes subventions. La Révolution de Juillet et la perte du soutien légitimiste mènera l'Institution à sa perte : Louis-Philippe, roi des Français, commençe en 1831, par la faire dépendre du Ministère de l’Intérieur, puis par celui du Commerce. Parallèlement les subventions deviennent de plus en plus réduites (de 46 000F en 1830, elles passent à 12 000F en juin 1831 !) pour finir par être entièrement supprimées. Alexandre CHORON ne peut supporter cette situation. Sa santé décline rapidement, d’autant plus qu’il déploie d’intenses efforts pour maintenir son école. Il s’éteint à Paris le 29 juin 1834, laissant une multitude d’œuvres musicales : des recueils destinés à l’enseignement et au service des églises, des hymnes, antiennes à deux, trois et quatre voix, des chorals en faux-bourdon à trois voix, une méthode de plain-chant, une méthode d’harmonie, un Livre choral de Paris, contenant le chant du diocèse de Paris écrit en contre-point, une Messe à trois voix sans accompagnement, des psaumes et motets, un Stabat Mater à trois voix avec orgue... Son Institution Royale de Musique Religieuse ne lui survit que peu de temps. La direction est reprise par son gendre Stéphane NICOU-CHORON, excellent musicien auteur de Messes, oratorios, cantates et autres chœurs, mais l’année suivante elle doit fermer définitivement ses portes, faute de crédits.
- Heureusement l’œuvre de CHORON, qui était parvenu à renouer la tradition, ne disparait pas avec sa mort. Le prince de la MOSKOWA, ami de CHORON, fils aîné du maréchal NEY, passionné d’art choral, reprend le flambeau en fondant une Société de musique vocale, religieuse et classique en 1843. Il fait ainsi découvrir Ockeghem, Palestrina, de Lassus, Victoria, Gabrieli non seulement en exécutant leurs œuvres, mais également en les publiant. Dix ans plus tard Louis NIEDERMEYER, soutenu par le prince de la MOSKOWA, ranime l’œuvre de CHORON en créant une Ecole de musique classique et religieuse. De celle-ci sortiront d’éminents musiciens, tels Gabriel Fauré, Eugène Gigout, Albert Périlhou, André Messager, Léon Boëllmann, Edmond Audran ou encore Henri Büsser. La flamme est ensuite reprise par Charles Bordes, Alexandre Guilmant et Vincent d’Indy avec la fondation (1894) de la Schola Cantorum. De cette école est issue, depuis son ouverture, une foule d’artistes de grand talent parmi lesquels nous citerons René de Castéra, Joseph Civil, Marcel Labey, Guy de Lioncourt, Albert Roussel, Gustave Samazeuilh, Déodat de Sévérac, Auguste Le Guennant, Marc de Ranse, Edgar Varèse, Georges Auric, Abel Decaux, Alexis Galperine... Enfin, quelques décennies plus tard, en 1935, le flambeau était passé à son tour à l’Ecole César Franck, créée par d’anciens professeurs de la Schola (Louis de Serres, Guy de Lioncourt et Marcel Labey). Là encore sortira une pléiade d’élèves renommés : Paule Piédelièvre, Michel Chapuis, André Isoir, Francis Chapelet, Jacques Berthier, Joachim et Elisabeth Havard de la Montagne, Emmanuel de Villèle, René Bénéditti, et encore Carlo Boller, l’abbé Pierre Kaelin, Papadopoulos, Hirao, Ma-Hiao Tsi’un...
En 1832, Alexandre CHORON intervient auprès du Vicomte DE SAINT-MARS, Secrétaire-général de la Grande Chancellerie de la Légion d'honneur, pour appuyer le dossier d'admission de la jeune Clémentine DE SAINT-THOMAS à la Maison Royale de Saint-Denis.
CHORON a publié de nombreux ouvrages de musique. Il a aussi laissé des papiers volumineux, conservés à la Bibliothèque nationale de France.
Père d'Athénaïs DE CUZIEU, madame DE SAINT-THOMAS.
Education :
Arrière-petit-fils de l'Echevin de Lyon Blaise DENIS, militaire de carrière (colonel), bibliophile, maire de Saint-Lager pendant 35 ans.
Carrière militaire :
Franc-maçon membre de la Grande Loge "Durat Cum Sanguine Virtus Avorum " dont le Grand maître est le prince Louis-Philippe Joseph d'Orléans Duc de Chartres ; initié à Strasbourg (Bas-Rhin) le 10 septembre 1785.
Carrière civile :
Maire de Saint-Lager (Rhône)
Passions :
Bibliophilie
Mariage :
Epouse à Lyon en 1790 Suzanne Christiane D'AFFAUX DE GLATTAS (divorce en 1802 et remariage en 1806).
Inhumé au cimetière de Saint-Lager (Rhône) dans le caveau des Barons DE SAINT-LAGER.
Divorce le
Remariage le
Dernière sœur de Charles Aimé Ovide DENIS DE CUZIEU (1764-1848).
Née le 4 novembre 1780 à Lyon (Rhône). Décédée le 19 août 1844 à Paris à l'âge de 63 ans.
Elle épouse le 21 décembre 1801 à Cuzieu (Loire) Jean Guy Gabriel ARTHAUD DE VIRY, né le 3 juillet 1782 et décédé le 29 mars 1815 à Virieu (Isère) à l'âge de 32 ans, Ecuyer (Parents : Philippe Emmanuel ARTHAUD DE VIRY 1750-1800 & Louise Marie Philippine DU BESSAY DE CONTENSON 1755-1786). Veuve de Jean Guy ARTHAUD DE VIRY (1782-1815) en mars 1815, Aglaé DENIS DE CUZIEU (1780-1844) accouchera d’un enfant naturel 10 mois plus tard ; cet enfant a d’abord porté à l’état-civil le seul nom des DENIS de CUZIEU :
- Antoine André Arthur DENIS de CUZIEU puis ARTHAUD de VIRY (1816-1885). Né le 15 janvier 1816 à Versailles, Yvelines. Décédé le 19 septembre 1885 à Savas-Mépin, Isère, à l'âge de 69 ans. Officier de marine, diplômé de l’Ecole Navale (1832), lieutenant de vaisseau, chevalier de la Légion d'honneur et chevalier de l'ordre de Pie IX. Surnommé le « Le Marin » par sa cousine Athénaïs DENIS DE CUZIEU, il fut reconnu par acte notarié du 5 mai 1832 par son père, un jeune cousin du premier mari d’Aglaé, André ARTHAUD DE VIRY (1789-1849) qui épousera plus tard Aglaé ! Né le 15 février 1789 à Montbrison (Loire). Décédé le 29 mai 1849 à Clermont-Ferrand, Puy de Dôme, à l'âge de 60 ans. Capitaine commandant au 2° cuirassiers de la garde royale, puis chef d'escadron ; chevalier de la Légion d’honneur.
En effet Aglaé DE CUZIEU se remaria le 13 juillet 1839 à Paris 10e avec ce commandant ARTHAUD DE VIRY, mais ce dernier était-il vraiment le père du « Marin » ? Pourquoi la reconnaissance du « Marin » (1832) et le mariage (1839) n’ont-ils pas eu lieu en même temps ? Pourquoi attendre 7 ans entre ces 2 évènements ? Le remariage d’Aglaé DE CUZIEU avait-il le double objectif de donner un héritier au commandant DE VIRY tout en régularisant une situation morale inconfortable pour l’époque ? Peut-être juste un mariage blanc pour un arrangement familial avec un cousin vieux garçon sans descendance… Je ne sais pas. Tout cela reste conjoncture et hypothèses.